Mes citations.

Il est vrai qu'il n'y a que la vérité qui dérange. On s'accommode mieux avec le mensonge. 

Il est bon d'avoir du souffle pour pouvoir courir longtemps et entendre le vent siffler à ses oreilles.

Le temps est une tempête qui gronde sans répit dans un mutisme absolu.

Toutes attendent un autre homme, une autre vie. Mais qu'espère donc celui qui les attend ?

La sagesse est le fruit d'un arbre du paradis.

La seule richesse véritable, c'est la santé.

Qui vit de mensonge meurt de vérité.

La poussière qui s'envole quand le cheval galope finit toujours par retomber.

Les charlatans se font passer pour des savants et les barbares pour des civilisés...

Ce monde n'a pas évolué malgré les apparences trompeuses d'une civilisation matérielle dont l'histoire ne cesse de nous rappeler que c'est un corps sans âme.

Un seul plat. Le samedi, le vendredi, le lundi, le jeudi. Les jours se mélangent dans ma tête. Rien ne les différencie.

Le ciel étoilé ne m'intéresse pas. Vega, Arcturus, Altaïr ou Deneb. Qui s'en soucie ?

Je suis un zombie. Je ne parle ni de films, ni de musique, ni d'art, ni de poésie.

Pour comprendre le passé, il faut d’abord se référer au présent. Le présent reproduit toujours une image plus ou moins claire du passé.

Je suis un zombie. La Mésopotamie. La clef du savoir. Qui en a entendu parler ?

A des étapes clés de l’histoire du monde, les archives ont subitement disparu. La destruction de la Mésopotamie, la disparition tragique et rapide d’une civilisation qui rayonnait sur les quatre directions du monde, la destruction de Carthage, l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie.

Hommage à tous ceux qui, après des millénaires d'amnésie, ont redécouvert pour nous la Mésopotamie pour lui redonner la place qui lui est due dans l'histoire de l'humanité.

Les meilleurs amis du monde ? Persil et coriandre.

Simplicité. Sincérité. Honnêteté. Humanité. Des mots périmés qui n'ont plus leur place dans le dictionnaire. Il faudrait peut-être penser à les en retirer. Des archaïsmes ? C'est ce qu'il me semble. Des mots qui désignent des significations qui n'existent plus sur le terrain. De l'hypocrisie sémantique.

La démocratie suppose le vote direct par le peuple sans passer par les partis qui peuvent être infiltrés et ne représentent jamais qu'une minorité.

Hier, tu es revenu bredouille. Aujourd'hui, tu reviens bredouille, Demain, ne t'arrêtes pas ici.
Passe ton chemin et va ailleurs !

Elle croyait bien tenir le fil mais il lui a échappé. Les fils d'aujourd'hui sont très fins, très fragiles et peu fiables. Ce ne sont plus les fils d'antan qui étaient à l'épreuve du temps.

Certains ont déjà tranché : ce sont les radicaux, les selfish, ceux qui voient d'un mauvais œil le bonheur d'autrui, ceux qui se disent intelligents et qui devraient peut-être réviser leurs leçons pour une raison très simple : aucun intelligent ne se trouverait là où ils sont.

Le lecteur : une espèce en voie de disparition. 

Ce n'est jamais à cause d'une femme que l'on souffre mais à cause de sa fierté.

Beaucoup se sont crus immortels un certain moment avant d'être emportés par la vague.

Les aviateurs et particulièrement les pilotes d'hélicoptère n'ont pas l'air de s'intéresser au fait qu'un hélicoptère ait volé sur Mars avant tout autre aéronef. C'est vrai que cela s'est passé sur une autre planète, c'est un peu loin pour un hélicoptère mais c'est justement cela qui fait l'évènement.

Le faux ne peut résister au vrai car il n'existe pas. 

Je commence à m'ennuyer sur Facebook. La routine. Je devine même ce que je vais lire avant de l'avoir lu. Depuis le temps que je m'ennuie à faire semblant d'aimer, j'ai été obligé de m'éloigner pour respirer un peu et avoir le temps de m'occuper de moi-même, de ce que je veux lire et de ce que je veux entendre. Je veux manger des escargots, de la langouste, du steak tartare, du méchoui pas de la laitue. Depuis le temps que j'en bouffe sur Facebook, j'en suis devenu tout vert. Même du poulet, j'en veux plus.

Je vois que personne n'aime le mouton de Tamanrasset. Pourtant tout le monde en a mangé. Je parle des aviateurs. C'est bon le méchoui pas vrai ?

Une phrase que je disais souvent à Tarbes : allons faire un tour du côté de l'Adour.

J'ai mis des fleurs sur ma page. Chaque fleur provient d'un endroit diffèrent. Chacune d'elles a son histoire et son heure de gloire.

Souvenir d'une gazelle en prison.
Les principes sont le fruit de la conscience qui peut s'assoupir ou s'affaiblir, victime de l'anomie, de la maladie ou du vice, mais elle se rétablit souvent pour reprendre le contrôle des âmes.
La soif d'un jour torride quand les outres sont taries et le puits encore loin.
Certains vous présentent un objectif leurre derrière lequel se cache l'objectif réel.
Quand on voit ce qui se passe aujourd'hui, on se demande ce qui a dû se passer hier quand il n'y avait ni foi ni loi.
Pouvoir ne suffit pas, il faut aussi vouloir. Et la volonté dépend de tant de facteurs dont l’intégrité et la conscience ne sont pas les moindres.